La route du goût à Monaco. Festival biologique
Pour la deuxième année, l’association Bio chef global spirit, initiée et présidée par Paolo Sari, seul chef étoilé certifié biologique au monde, organise un festival biologique, à la découverte des produits, de la gastronomie locale et des pratiques écologiques.
En ouverture : Paolo Sari
PROTECTION. Cette association, créée en 2015, a pour principal objectif de convaincre le plus de monde possible à l’alimentation biologique, locale et de saison, mais également aux pratiques écologiques et au respect de notre environnement. Sous son impulsion et avec le soutien de Monte-Carlo société des bains de mer, du 12 au 16 octobre, Monaco devient le symbole du bien-être, du respect et protection de l’environnement, de l’évolution des énergies renouvelables et de la démarche biologique. Un événement gratuit et ouvert à tous sur le port de Monaco, où les chefs de Monte-Carlo société des bains de mer et de la région seront mobilisés autour de l’événement.
Le festival de la route du goût rassemblera, sur le quai Antoine 1er, un marché biologique et les principaux acteurs et promoteurs de la démarche biologique et écologique mondiale, ainsi que les institutions majeures de la principauté.
Des nombreuses animations pédagogiques autour des énergies renouvelables, des pratiques de sauvegarde de la planète, des démonstrations culinaires sur l’alimentation saine et biologiques, une régate culinaire à bord d’un mythique Riva, ainsi que deux dîners de gala bio, au Monte-Carlo country club le jeudi 13 octobre et au Deck – Monte-Carlo besace le vendredi 14 octobre, sont au programme. D’autre part, des concours d’inventions écologiques et de cuisine de grands chefs sont ouverts à la participation des enfants et de leurs parents.
En parallèle, l’association présentera ses projets innovants en première mondiale : la cuisine solaire et le Moses.bio®, potager bio flottant autonome en énergie.
Tous les fonds levés par l’association seront utilisés pour garantir la construction d’une école hôtelière biologique à Ambavanankarana en Madagascar et assurer, pour la première fois, l’instruction supérieure et former des jeunes malgaches déshérités.